Slavery beggars and mentally handicapped in a remote factory in China's Xinjiang

China labor bulletin ( v.o.a. )

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Selon un rapport d’enquête des médias continentaux chinois, environ une douzaine de travailleurs ont vécus pendant trois ans dans un état de servitude en travaillant de longues heures sans salaire dans des conditions épouvantables pour une usine de matériaux de construction du Xinjiang.

Les travailleurs étaient tenus prisonniers au sud du comté Toksun de la capitale provinciale Urumqi, soit à des milliers de miles de leur ville. Ils étaient nourris de la même nourriture que les chiens du patron et battus s’ils tentaient de s’échapper.

The workers, dont huit auraient un handicap mental, avait été vendu à l’usine par un organisme appelél’agence d’adoption des mendiantsdu comté de Qu dans le Sichuan. L’accord précise que l’usine doit payer à l’organisme un frais fixe de 9.000 yuans, 300 yuans par mois par travailleur et de compenser l’agence de 1.000 yuans pour chaque travailleur «perdu». Les travailleurs eux-mêmes n’ont pas reçu d’argent.

La police locale du comté de Toksun dit qu’elle ne pouvait rien faire parce que l’usine avait un contrat de travail légitime avec le Département des affaires civiles du Sichuan. However, tant le gouvernement provincial du Sichuan que le gouvernement du comté Qu affirment avoir aucune trace d’une telle organisation.

Les médias officiels ont rapportés le 14 Décembre dernier que le trafiquant de travailleur derrière l’« agence d’adoption de mendiants » du comté Qu, Zeng Lingquan, a été arrêté.

Plus de trois ans après le scandale des esclaves du four à briques du Shanxi qui a choqué la Chine en mai 2007, des cas de travail forcé continuent de faire surface. More recently, en janvier 2010 une station de télévision de Shanghai avait révélé que des personnes handicapées mentales avaient été forcés de travailler à l’usine de brique de la province centrale du Hubei tous les jours, du matin au soir, pour seulement 208 yuans par an.

Il est clair que les personnes handicapées mentales et itinérantes de la Chine demeurent encore vulnérables aux trafiquants de main-d’œuvre et que les autorités sont encore réticentes ou incapables de résoudre le problème.

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