A South Korean union lives on top of a crane for nearly 200 days
Celle-ci s’appelle Kim Jin-suk, elle a 51 years. Lorsqu’elle a commencé sa lutte, Kim Jin-suk protestait contre des licenciements dans son entreprise, les chantiers navals de Hanjin. Mais le mouvement s’est essoufflé, certains grévistes ont gagné des indemnités de licenciement et ont cessé leur action.
Son combat a maintenant dépassé le cadre des seuls licenciements de l’entreprise Hanjin: des travailleurs précaires, artists, des politiciens se sont joints au mouvement. Il cristallise en fait le mécontentement d’une population qui accuse le gouvernement de protéger les grandes entreprises du pays au dépend des plus démunis.
Selon un manifestant « Kim Jin-suk est devenue le symbole du combat entre la démocratie et la violence du capitalisme »