New forms of employment, new lesions
Usines, textiles, mines and papeteries. Ces quelques mots rimaient autrefois avec les secteurs d’emplois piliers du Québec industriel. However, en quelques décennies, la donne s’est fortement transformée. Les pays dits « émergents » ont fourni a workforce si bon marché qu’il était plus rentable de produire ailleurs quitte à faire des milliers de kilomètres aux produits de consommation que de payer des salaires avantageux. Qu’est-ce qui East resté au Québec? L’ordinateur, the Tim Hortons, le bureau, la classe d’école. Voici les nouveaux créneaux de l’économie actuelle laissant l’idée que le vieux monde industriel avec ces rouages et ces blessures was histoire du passé. Il serait possible de pensée que le travail actuel est moins « difficile » pour le corps (moins de charges lourdes à transporter, moins d’accidents avec les machines lourdes), car essentiellement basé sur les fameux servicesand le travail intellectuel.Bien évidemment, le monde a changé et les problèmes de santé d’entend ne sont plus les mêmes, mais est-ce que le travail est devenu « santé »? La question mérite d’être posée.
Merci camarade pour ton article. I am 100% d’accord avec toi. Je travail dans un centre de santé et de service sociaux (CSSS) qui a ouvertement adopté la méthode Lean, sous le nez impassible de nos syndicats populaires. La pression sur le personnel est insupportable , je pourrais vous en parler longuement, mais je vais m’abstenir. J’ai récemment eu vent que près du 1/3 des infirmier,ères auxiliaires étaient en maladie, pour la plupart en raison d’épuisement professionnel et de dépression. Des travailleurs plus anciens me racontent parfois les conditions de travail qui était jadis, beaucoup plus tolérables. Alors NON, mon travail n’est pas santé et NON le temps n’améliore pas les choses. Nous ne sommes pas des robots et nous ne travaillons pas sur des machines! Debout travailleurs de la santé!