Series about the horrors faced by migrant workers

It's rare, but it happens. Sometimes, the big media monopolies publish interesting information, with a favorable view to workers. This is what just happened in the newspaper The Press, where journalist André Noël publishes a series of articles on migrant workers struggling in our Quebec countryside to pick fruits and vegetables produced in Quebec, thus echoing complaints from Noé Santos against the Quebec company Savoura, that we had relayed last December.

Read more

,

The exclusion of domestic workers: A long fight against discrimination and prejudice

Christiane Gadoury, UTTAM

Since many years, plusieurs organisations, dont l’Union des travailleurs et des travailleuses accidentés de Montréal, dénoncent le fait que les travailleuses domestiques soient exclues de la définition de travailleur dans la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles (LATMP) and, Therefore, ne puissent bénéficier automatiquement de sa protection. Au fil du temps, de plus en plus de voix se sont ajoutées afin de dénoncer cette situation inacceptable. So, depuis maintenant plus d’un an, the government, ne pouvant nier l’évidence, promet de corriger cette injustice incessamment. Mais toujours rien…

Pourquoi y a-t-il tant de résistance? Pourquoi y a-t-il de si longs délais? Voici l’histoire d’une longue lutte.

Read more

,

Haiti and Santo Domingo : slaves to the island

Hundreds of thousands of Haitians are forced to cross the border to work in the Dominican Republic. Parked in plantations, they live without water, power, latrines, school and care.

This is one island, Hispaniola, but both countries, two different worlds, at sea Caribbean. Haiti and the Dominican Republic. poor country among the poorest in the world, Haiti pushes its inhabitants into exile, probably between 10 % and 15 % Population. Between 500 000 and a million Haitians live, illegal or not, Dominican Republic, who, beside, almost figure Eldorado. For one season or for life, they go to work in the Dominican fields, for 1 or 2 euros per day, more than they can hope to earn in their country devastated by years of economic and political crisis the ratio between the average income of a Haitian and that of a Dominican and 1 at 7.

Read more

, ,

China : Wage disputes gaining violence

Traduit par Samantha Deman · Global Voices

Un travailleur migrant, originaire de la province du Hebei, a été poignardé le 9 janvier dernier à Beijing, après avoir réclamé des arriérés de salaire auprès d’un sous-traitant ; l’homme a perdu un rein, précise l’article paru dans le journal Yangchen Evening News.

L’événement a été surnommé l’affaire “Salaire réclamé, rein perdu” par les médias chinois.

Selon le Yangcheng Evening News, Gao Zhiqiang, un père de trois enfants âgé de 28 years, a subi l’ablation de son rein droit après avoir reçu des coups de couteaux commandités par le sous-traitant auquel il avait demandé 70 yuan (7 euros) d’arriérés de salaire. Un médecin a évalué les frais médicaux de Gao à près de 50 000 yuan (5 107 euros).

Read more

Montréal: A farm worker in hunger strike

Note: A reason beyond our control forces us to modify the text of M. Santos. Changes are indicated by typographic brackets [ ]

My name is Noé Ricardo Arteaga Santos, I am a former worker [of a Quebec company that produces greenhouse tomatoes and former member of the workers' union of the same company]. I was dismissed in an unjust and arbitrary way for the simple fact of having fought for the respect of the contract which bound me to this said company.

Read more

Farm workers do not deserve our respect

par Pierre-Louis Fortin-Legris
Pris sur le site de À Babord !

Il est un lieu commun qui veut que le marché du travail soit un mutant. Transformations par-ci, mutations par-là. Le milieu agricole n’y échappe pas. Nos cornichons viennent d’Inde et nos terres sont labourées par des Guatémaltèques de passage qui, tels des cornichons, n’ont pas le droit de s’organiser collectivement.

In recent years, les conditions de vie des travailleurs agricoles saisonniers font l’objet d’une attention soutenue de la part de groupes de défense des droits et de certains syndicats [1]. Des campagnes d’information sur les droits des travailleurs et des travailleuses ont été menées avec les moyens du bord, pour permettre aux employées agricoles d’avoir accès aux régimes de protection sociale : assurance-emploi, CSST, etc. Une fois ce travail bien enclenché, la suite logique était d’institutionnaliser le rétablissement du rapport de force, de créer des syndicats pour les travailleurs temporaires migrants. C’était sans compter la flexibilité de nos lois du travail…

Read more